Entraînement de Sylvie "la peste"

Ah les cailloux toute une histoire avec moi et mes chevilles

Tout va bien de ce côté avec les chevillères

Sinon, VMA courte, VMA longue, footing? Non, m'en rappelle pas! Oh! La blonde, Des séances à 4.42 -4.45. Repos vendredi.

Pour le stage j'ai vu "seuil" mais non, je ne dis pas cela pour toi mon biquet:)))

pffff.....

oh dit !tu t'entraines à courir ou à faire dj !
attends un peu un jour je viendrais avec mes musiques et sur ton post!he oui !! ça m'a l'air d'être un lieu propice pour ça ! mhoua !


bonne continuation dans ta prépa!!! courage !!!

@ Yo! Besoin de tes encouragements, because tu as de la valeur à mes yeux , et quand on se chipotent, bah, je n'aime pas, pas en phase avec moi

@ Mano ou manoir

Sur le post de DJ Sylvie, la puerta est grande open zic, photos, cool la peste

allez

Tiens ma chair, j' ai pensé à toi en mâtant ceci :
Bonne lecture

trucs pour apprendre à mieux dévaler…
1- Le travail musculaire
Qualité indispensable qui bien descendre : posséder une musculature appropriée. En effet, même si le poids assure une certaine motricité en descente, il est naïf de croire qu’aucun travail musculaire n’est requis pour descendre.
Le placement des pieds dans les descentes techniques, le freinage dans les virages et le travail à exécuter pour retenir le corps sollicitent les muscles de manière extrême.
Dans les descentes plus roulantes, les chocs répétés traumatisent énormément les muscles des cuisses qui assurent eux aussi un certain frein pour éviter la bascule du corps. Les courbatures les lendemains de trail sont rarement dues aux montées…
En revanche, il est probable que vos jambes se souviendront des descentes ! De nombreuses techniques de renforcement musculaire sont à pratiquer : la chaise contre un mur, le vélo ou le roller. Choisissez ce qui vous convient le mieux et concentrez-vous sur vos faiblesses afin de les corriger au maximum.

2- L’expérience
Les progrès en descente peuvent être très rapides pour certains coureurs possédant naturellement une bonne lecture des trajectoires. Le VTT et le ski peuvent aider les runners à mieux négocier les courbes, à anticiper et à bien placer leur corps dans les sections les plus techniques.
Les pratiquants d’autres disciplines pédestres habitués à évoluer sur des terrains difficiles (randonneurs, alpinistes…) peuvent également retirer un gain significatif de leur expérience en déchiffrant parfaitement le terrain et en ayant une pose de pied très efficace. Bonus : une fréquence de foulées plus importante et plus grande sérénité.
Enfin, là aussi en fonction du vécu sportif de chacun, certaines qualités musculaires peuvent se révéler êtres de sérieux atouts. C’est le cas pour les skieurs très forts en cuisses ou certains cyclistes qui encaissent plus facilement dès leurs débuts les passages descendants.

3- Le relâchement
Lorsque la composante musculaire a été développée et la capacité à endurer améliorée, il faut être capable de se « lancer » sans craintes. Un bon relâchement est donc nécessaire. Celui-ci vous aidera à mieux placer votre corps et à évoluer en fonction des appuis que le terrain impose.
Garder à l’esprit que les chutes en descente sont assez rares. La prise de risque autorisée par le cerveau est souvent inférieure aux possibilités du corps. Il faut donc se laisser aller en lisant bien le terrain.
Effectuer de petits pas lorsque la pente est raide et allonger la foulée lorsque le pourcentage s’adoucit. Le corps doit ainsi « basculer » en fonction de la raideur du terrain. En arrière et sur le talon lorsque c’est très pentu et orienté de plus en plus vers l’avant si la descente est moins raide – à l’instar de la course sur le plat.
Les bras doivent être le plus relâchés possibles. Ils doivent assurer sans crispation leur rôle d’équilibre du corps en assurant un balancement en fonction des virages ou de la pente. Là encore, laissez les faire, ils feront naturellement les bons gestes !

4- La concentration
Point extrêmement important ! La concentration est capitale dans la réussite d’une bonne descente. Tous vos sens doivent donc être en éveil. Les yeux pour repérer les virages et les courbes à prendre mais aussi pour ne pas rater un balisage ou une marque au sol.
Les yeux encore pour effectuer une pose de pied pertinente sur le bon revêtement, le bon caillou ou la bonne trace. Chaque appui réussi est un de gain de vitesse et un gain de temps. A l’inverse, un appui raté peut freiner votre progression et entrainer un surcroît de travail musculaire.
Même l’ouïe a son importance. En écoutant le bruit des cailloux rouler sous votre pied, vous pouvez en savoir plus sur le revêtement. Descendre : une science !

5- Le plaisir
INDISPENSABLE ! Avant même de se lancer, il faut se convaincre que descendre est un véritable plaisir. Surtout lorsque l’on possède un minimum de technique. Comme sur les pistes de ski, les sensations de vitesse sont un véritable bonheur. L’expérience aidant, on apprend réellement à profiter et à savourer ces moments.
Les Corses, par exemple, qui sont à mon sens les meilleurs descendeurs, attendent impatiemment les descentes et se tirent la bourre dans des passages techniques incroyables dont l’île de Beauté regorge. Ils prennent même souvent leurs chronos en descente pour savoir qui est le plus fort dans ce domaine. Honnêtement, je les comprends. Lorsque l’on fait preuve de maîtrise dans cet exercice, c’est une magnifique sensation de voltige qui vous attend.
Alors, n’hésitez pas à varier les situations, les terrains et pourquoi pas à prendre un chrono. En maîtrisant la prise de risques bien entendu. Mais pour en arriver là, il faut travailler les cinq points mentionnés plus tôt avec enthousiasme et sérieux. C’est de la descente, pas les vacances !

et le tricot, t'as essayé?

une bonne cure de tricot, non?

ryan hall!! super sur marathon, mais je crois qu'il ai qualifié pour les JO (2eme a houston), une grosse densité aux usa, avec des coureurs sous les 2h10!!! top!

Viii un modèle, tu as vu cette magnifique foulée, bien évidemment impossible de reproduire, je suis pas toute bête non plus, il est jeune et balaise, et tout et tout.

Il est sans entraineur maintenant, tu te rends compte, SA FOI seulement en un Dieu vivant. Moi j'admire, j'admire.

n'admires que ce que tu es et ce que tu veux faire.Lui est pro, c'est son job!

ET PIS .....t'as déjà les lunettes

.......

parles pas de pis tonton, elle va te dire que t'es Vache...

Meuh, meuh, oh! Vous êtes en forme, hein! Bah oui, on a au moins les mêmes lunettes et la même foi

Citation :

Ouaih! T'inquiète, je me regarde dans le miroir, et je me dis, c'est bien ma fille, 42 bosses comme une folle, tu dors peu, tu cours, tu gères ton entreprise familiale seule et TU ES ENCORE DEBOUT, yepppp!

sinon, tu cours des fois?

@ Catounette!

Oh génial çà pète, hein! Bon, je ne fume pas , rassure-toi, j'ai craquer sur ce nouveau son.

@ Yo!

Non je ne cours po, j'ai une bronchite larynghite,sous antibiotique, PAS DE SOLUPRED

Bah, si je cours malade allons! Tssss, tu m'as vu Jack gère mes entrainements selon les soucis rencontrés avec le froid -10°, sinon éliptique 1 Séance ... Demain le kiné à la MDS Gerland me garde le tapis de course pour la séance récup du soir, ESPOIR! le midi du 400

MAGNIFIQUE Du pur athlétisme

elle est jolie la fille

TOPPPP vidéo !!!!

Non Pestou plus d'agmyd. opérée à 4 ans, je m'en souviens encore.
Justement aprés des angines à répétition, otites & rhyno truc ! toudi malade.

C'est un filtre mais les infections à répétition affaiblissent ce dont pourquoi elles sont là et alors : COUIC -

Même adulte mais beaucoup plus douloureux.
ma grande s'est fait opérer car de même et plus rien .

et oui pas de secret...

C'est fait pour que les "sans vent et sans froid" te parraissent simple :)