Cr trail Gorbio
Avec du retard, je sais, je sais, je suis débordé en ce moment.
Je suis donc parti pour Gorbio dimanche matin, connaissant bien l’endroit puisque c’est mon secteur « pour le travail », et que je sais aussi que j’allais me faire plaisir visuellement « la vue plongeante sur la riviera de la haut est sublime ».
Je reviens quelques semaines en arrière, histoire de définir le contexte. Lors d’une sortie en colline un dimanche matin, je me suis violement tordu la cheville gauche dans une descente. Lorsque je cours sur la route et chemins RAS, mais dès que j’attaque des portions en colline plus technique, les contraintes induites à ma cheville par le profil du terrain me font souffrir.
Ce qui veut dire que le trail de gorbio j’y vais plus pour le paysage que pour le trail en lui-même, de plus j’ai pas la tête à ça en ce moment !!!!!
J’ai bien roulé jusqu'à Gorbio, il y avait de la brume sur l’autoroute, environ jusqu’au adrets de l’Esterel. J’arrive donc a Gorbio vers 7h30 je crois, je prend quelques photos, puis Eric arrive on va au café ensemble, on se marre bien « et j’en ai besoin », quel déconneur celui là !
Nous allons ensuite chercher nos Dos. Puis nous équiper sur le parking, le temps passe vite il est déjà 9h00, et nous apprenons que le départ du 32 et des marcheurs sera bien à 9h30, mais celui du 18 sera donné à 10h00, encore une idée lumineuse des organisateurs qui veille bien a nous faire courir sous la chaleur !!!!
On se chauffe tout en visitant le vieux village, au loin le levé du soleil, superbe, c’est un endroit magnifique Gorbio, bucolique, romantique itou itou itou, on dirai un village Corse.
Je me poste à 9h30 pour photographier le départ du 32 et de la marche !!!!
10h00 c’est a notre tour de partir gambader dans la colline, quelques kilo sur une portion bétonné, puis on rejoint la piste, ça monte, en lacets, et comme j’ai pas envie de courir je marche et je profite de la vue, c’est grandiose, le soleil diffuse une lumière sur l’eau qui scintille « On dirai des pépites d’or » de l’Italie au loin jusqu'à Monaco, la côte nous fait admirer ses courbes, c’est beau, mais que c’est beau, digne d’une photo d’Helmut Newton !
Fin de la piste on reprend un portion de route, j’en profite pour trottiner un peu, de la nous rejoignons un petit sentier qui va nous mener jusqu’au sommet en faut plat montant, avec des passages dans des pierriers qui même pris en marchand font souffrir ma pauvre cheville.
La descente d’environ 5-6kilo, en trottinant aussi, light, light, elle est technique sur une bonne portion et j’ai pas envie de me la fusiller un peut plus.
Voilà 2h16 plus tard suis de retour à Gorbio, Eric m’attend, je me ravitaille en chocolat hummmm, on mange rapidos, et je le redescends chez lui à Menton, par le bord de mer bien sur !!!!!