En résumé: pfffffffffffff!
En détail maintenant
Vendredi soir, course dans ma ville, organisée par MON club, qui est le plus cool de la région, si je vous le dis c'est que c'est vrai
Mais c'est bien aussi pour ça que me suis sentie obligée de participer malgré le fait que je n'en avais aucune envie et pas un trop bon souvenir en 2009 (trop chaud!).
Données de départ:
- jeudi soir, repas boulot au resto, mais somme toute assez équilibré, trop arrosé quand même
- dodo chez mon homme qui n'a jamais rien chez lui pour le ptit déj, mais au réveil je n'ai pas faim, donc banane et basta
- repas de midi = apéro-déjeuner debout, je déteste ça
, et les pâtes sont arrivées 5 minutes avant la reprise du programme de l'après-midi, pas eu le temps d'en manger
- climatisation à fond la caisse, aglagla, je suis déjà contente de m'en sortir sans rhume
- retour à la maison, dodo 45 minutes, écrasée par la chaleur
- au réveil: zombie
18h50, je saute sur mon vélo pour aller retirer mon dossard. Blabla avec les amis. Chaleur mais surtout humidité épouvantable... l'année passée il n'y avait que la chaleur, gloups!
Sans la moindre envie
je fais un tout mini riquiqui échauffement-dégoulinade, beurk.
Hop, départ à 19h45. Il faut faire 3 tours de 2.7 km. Le premier je le fais tranquillou, en 14'19". AU deuxième j'ai l'impression d'aller bien, en tous cas je remonte quelques concurrents et je sème mon principal rival et ami d'entraînement, moi contente
Il y a deux points de ravitaillement sur le parcours, l'un officiel, et l'autre après la montée la plus difficile, un privé a installé une table devant son garage et remplit des gobelets avec le tuyau d'arrosage du jardin, merci monsieur!
En tout sur la course je me suis arrêtée 4 fois pour boire, ce qui sur une si petite distance ne me ressemble pas
Je boucle le deuxième tour, j'en suis à 29'39, scrongneugneu je sais déjà que je vais faire moins bien qu'en 2009. Je commence à avoir un point de côté mais il n'est pas trop fort, ça va.
Troisième tour, dans la montée difficile je marche pour récupérer mais en allant aussi vite que les coureurs qui sont autour. Au sommet je m'arrête pour boire chez le gentil monsieur
et là paf! mon rival me dépasse et j'ai eu beau essayer d'accélérer pour le reprendre, il n'y a rien eu à faire, il avait mis les gaz! Je termine la course avec la tête dans un étau, un mal de tête pas possible qui me donne carrément envie de pleurer après l'arrivée, mais après quelques gobelets de boisson iso et d'eau ça rentre un peu dans l'ordre.
44'16" soit 38 secondes de plus qu'en 2009, pas de quoi s'arracher les cheveux (quoique, ça me rafraîchirait peut-être
) mais je ne suis pas contente sur le moment. Mais c'est passé